Une chancelière allemande qui, dans l'exercice de ses fonctions, est prête à venir en meeting électoral soutenir son candidat français préféré, c'est à la fois unique dans l'histoire de la construction européenne, et... particulièrement malvenu pour le
Président-toujours Président. Les votants ont été sans ambiguïté : 62% des 720 premiers suffrages exprimés disent que les votants sont
"choqués que Merkel se mêle de politique intérieure" française. Sarkozy s'est loupé deux fois dans ce dossier. Une première en faisant de l'Allemagne un modèle à copier, ce qui n'est pertinent qu'en termes de balance commerciale, et une deuxième en invitant un dirigeant allemand en exercice à donner son avis sur le choix des Français.
C est lui qui devrait s inspirer de l Allemagne, Merkel , prend sa voiture pour partir en week end et n envoi pas un avion à 40 000 euros pour aller chercher son fils Pierre aux frais du contribuable, comme l a fait SARKOZY.
RépondreSupprimerRespectons la regle de nos institutions. ce serait malin d avoir un accident ou une prise d otage qui paraliserais la France...erkel est pas la Presidente. LAllemagne est une federation de Landers. le pouvoir est dans les Landers
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