Quand Hollande nous dit que son adversaire, c'est le monde de la finance, un votant sur deux le trouve
"idiot" ou
"démagogue". Avec Hollande, j'ai souvent l'habitude de voir les choses en creux et pencherais volontiers pour la quatrième proposition de notre sondage qui souligne que si lui, Hollande, est l'adversaire de la finance, l'autre, le
Président-toujours Président, est donc le candidat de la finance comme un votant sur trois le pense aussi. Le socialiste sait que de toute façon le monde de l'argent n'attachera aucune attention aux gesticulations électorales et s'en tiendra aux faits.
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